J’voulais vous parler de ce mec qui est mort le mois dernier,
j’voulais vous parler JC, ce type étais mon pote

Ce samedi, je me pointe a son échoppe, m’approchant, rideau fermer… pas grave, en balade…. Non quelque chose de différent, des fleurs à la pelle, bougies, une banderole…. Et une photo de JC en grand… non, merde, je comprends… intellectuellement…. une partie de moi refuse d’admettre quoi que ce soit… l’agrandissement d’article de la feuille de choux local m’apporte quelque infos … mais je refuse toujours d’admettre…
Je le connaissais pas depuis tellement longtemps…. Quelques années… a peines, pas aussi bien que j’aurais souhaitai … j’aimais passer le voir, prendre du temps dans son atelier, tailler le bout de gras, ou juste le voir bosser sur des motos parfois improbable, probablement le meilleur mécano de la ville… il mettais son cœur dans ce qu’il fessait.. Je lui confiai ma moto les yeux fermés
La première fois que je suis passais, sur les conseils autre pote le premier contacte fut rugueux, j’ai failli lâcher l’affaire, et finalement en y repensant il avait raison, je suis repassai, et ça a fini par coller…
Il était toujours là pour dépanner le « motard égaré », et pas que le motard, sous ses abord rêche il y avait un cœur d’or, une belle personne…il fessait partis de ces surdoué de la vie, qui réussissent ce qu’ils entreprennent….
Je ne reviendrais pas sur sa mort… conne… sordide…. victime d’un con… d’un sociopathe… j’aurais compris si il s’était tuer en moto… ou dans une autre de ses passions… mais la.. Une mort vide de sens,
JC fessais partis de ces personnes trop droite pour se courber devants la médiocrité ambiante, devant la connerie humaine, il va laisser un grand vide dans la ville, le quartier, et nos cœurs…
Si il y a quelque chose de l’autre cote de la faucheuse j’espère te retrouvé te payer un coup, et je ne suis pas le seul à le pensé, a l’espéré… Trace ta route comme tu l’a toujours fait, continu ton chemin,…. Bon vent l’ami
J’aurais aimé être assis auprès de toi
Du coma au trépas tu n’aurais jamais franchi le pas
Je t’aurais réchauffé je ne t’aurais pas laissé
(merci a Bernie pour l’emprunt)