Petit matin, Phuket town, je savais juste que l’on allait assister à une célébration religieuse…
Une foule de blanc vêtue se rassemble le long des rues, …. commence à arriver les célébrants… des groupe de 5/7 personnes, à chaque fois l’un en tablier de couleur vives, et ses accompagnateurs, en blanc, l‘aidant, l’accompagnant, très vite il est clair que les communiants avait toutes sorte d’objets planter dans les joues, la langue, les bras recouvert d’aiguilles, ou encore ce « flagellant avec hache ou fouet….. démontrant par leur résistance a la douleurs, leurs communions avec les esprits…
Le soleil passe au-dessus des bâtiments, la foule commence à se mettre en mouvement, à suivre la procession, on progresse le long des rues de la petite ville, spectateur et communiant mêlait… on avance, certain s’arrête, font une pose, la chaleur monte, le soleil tape, les quelques 5 kilomètres de parcours sont déjà dure juste avec mon boitier a la main, quand est-il pour les processionnaires? Avec leurs blessures, leurs fardeaux, comment font-ils sans l’aide des esprits qui les portes; qu’ils portent? Même avec l’aide de leurs équipes, qui les soutiennes, les aides à porter leurs piques, épées, et autre, qui leurs travers le corp, les protèges de la foules, et essuie leur blessures ….
Cette cérémonie annuelle, début octobre (exactement commence la veille du 9em mois lunaire du calendrier chinois, raison pour laquelle la date fluctue d’une année sur l’autre) a lieux un peu partout en Thaïlande, mais c’est a Phuket qu’elle prend le plus d’ampleur.
A l’origine ce culte chinois, mâtiné d’indouisme, (voir du coté des yogis et fakirs pour l’auto mutilation) a étais importé sur l’ile aux alentours de 1825 (calendrier européen) par une troupe d’opéras chinoise. Les acteurs etais tombés malade, et on pratiqués 9 jours de pénitence, ne mangeant que des légume,fruits et en respectant une hygiène de vie très stricte, le dernier jours à la surprise des autochtones, ils sortirent guéris.
La communauté chinoise de la ville à adopter ce rituel qui c’est peut à peut répandu dans toutes les couches de la population, et à une grande partie de la Thaïlande…
Les communiant doivent s’abstenir de manger tout produit animal, d’user de substance psycho active (drogue, alcool) d’avoir de relation sexuel, pendant la durée des cérémonies, et surtout ils accueillent en eux, des esprits de morts, d’ancêtres. le mots Thaï est « MaaSong« , Maa désigne un cheval, Song pourrait être le chiffre deux.. ce n’est pas sans faire rappeler les rites Voodoo et leurs « Cavales ».
Puis le dernier jour, ils défilent dans la ville, prouvant par leurs actes de contrition la sincérité de leur communion.
Sur la grande place de la ville, des porteurs, palanquin sur les épaules, promène les statues des 9 rois empereurs à qui la cérémonies est dédier, sur les chaise à porteur sont accroché des ribambelles de pétards mitraillette que la foule tente de faire exploser en jetant d’autre explosives dessus, lorsque l’un deux fait mouches, sous les déflagration, les porteurs agitent la plateforme en tous sens,
Au court de tous ce passage, les explosions sont ininterrompues, l’air est emplie de fumée, d’odeur de poudre, le tout dans un bruit assourdissant
Après leurs passages, la rue est couverte morceaux de papier rouge, tous ce qui reste des multitudes de pétards….
Peut a peut les communiant arrive au VAT (le temple) des soigneurs les aides a déposer leur objets sacrificiel, puis ils se dirigent vers l’autel, chacun à leurs tour, frappe trois fois l’autel des poings, et les esprits les abandonnent, laissant ceux-ci catatoniques, les assistants, les recueillant dans leur bras pour leur éviter la chute,
Étonnamment, on note peut de séquelles, peut d’infection, les blessures guérisses rapidement, les participent reprennent le travail rapidement après les fêtes, comme si, cette procession n’étais qu’une balade digestive
Muchas gracias. ?Como puedo iniciar sesion?
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helllo yep if you need more information i can answer you… in inglish or french, « no abla espagnol » thx
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